mardi 4 décembre 2007

20 Septembre - Version Maïlys : Journée retour et pleurs…

… ou Comment faire une journée de 31 heures !

Miracle ! J'ai à peu près bien dormi dans le bus de nuit pour le retour à Tôkyô. La fatigue de not' journée "ratée" sûrement. À côté de moi, Clémence a moins bien dormi… On est arrivée à la gare de Tôkyô beaucoup moins enthousiastes… L'heure du départ approche. Rien qu'à l'idée que je vis mes dernières heures japonaises, je sens ma gorge se nouer… On avale nos "pancakes" (fourrés, pensez-vous ! Encore heureux, c'était au beurre salé – vive le CPLSDBDS ! – et contrairement au beurre russe, le beurre japonais est bon, lui !)
On reprend peu à peu contact avec la civilisation tôkyôïte : mon dieu ! Ça va trop me manquer ! Avec Clémence, on part prendre nos trains et par chance, ils sont sur la même voie. Clémence a pris celui de 7h24, moi j'ai attendu celui de 30 : le Narita Express… Bon à savoir, il est aussi appelé le N'Ex… Et c'est le genre TGV (en mieux forcément !) et le prix du billet n'est pas du tout le même. Mais ça, j'le savais pas ! Alors quand le contrôleur est passé, on s'est lancé dans des explications anglico-japonaises foireuses. Explications… Enfin, pas pour moi : il a tout de suite été évident pour le contrôleur que je m'étais trompée de train (ce qui est vrai en plus !) ! Et oui, au Japon, la confiance est innée ! Voyant qu'on ne s'en sortait pas ("J'veux faire un fare adjustment mais j'ai que la CB…" "Office…" "Ok, aux guichets… Lesquels et où ?" "Office…" "Oui, j'ai compris, office, mais quelle sortie dans la gare ?" "Oui, office avant sortie…" ARGL !!!), il a appelé un gars à la gare qui m'a gentiment attendu (devant la porte de ma voiture, bien évidemment !). Il m'a escorté (oui parce que ça faisait plus escorte que règlement d'une amende) jusqu'au guichet du N'Ex où j'ai juste réglé la différence de mon billet avec le tarif normal (des frais de dossier ? de traitement ? une amende ? Bah non, voyons ! On est au Japon ! Ça n'existe pas !).

Me voilà donc à l'aéroport, 8h30 avec… rien à faire ! Même le guichet Aéroflot n'est pas encore ouvert, j'peux pas faire enregistrer ma vache de sac, j'suis plus ou moins bloquée… J'me sors un manga pour tuer le temps, j'sais p't'être pas tout lire mais les images, c'est universel ! Un quart d'heure plus tard, une Russe m'aborde (en russe)Nani ? In English, please ! Ah ! Oui, oui, c'est bien là la queue pour Moscou… Hélas ! Là, j'ai commencé à réaliser que ça y est, c'était fini… Le Japon, c'était fini pour moi… J'ai enregistré mon sac à 9h et j'ai filé à la zone Duty Free, histoire de passer le temps (embarquement à 11H15… snif !)
C'est rigolo, la Duty Free Zone, c'est un mini Japon ! Des restos de râmen, soba ; des librairies (magazines, manga…), des Claps (indispensables à tout Japon qui se respecte), des Noiraudes vendant des fringues terribles… Profite, profite, c'est les dernières que tu vois ! Vers 9h45, je file sur le South Deck mater une dernière fois le paysage japonais… Bah, on voit pas grand' chose ! Des grillages masquent les belles pistes de l'aéroport (qui contrairement à Moscou, sont au pluriel, elles !) où des dizaines d'avions stationnent. Parmi eux, sûrement, celui qui me ramènera en France (via Moscou… brrr !). C'est là, très précisément que j'ai laissé couler mes premières larmes… Ça allait pas être les dernières ! Pour me remonter le moral, j'ai avalé une barre de maki soigneusement achetée la veille au Lawson de Kyôto. Ah, ce petit goût ! Qu'est-ce qu'il va me manquer ! Et hop, on r'met ça ! Heureusement que j'étais pas maquillée sinon j'aurais eu de beaux yeux de panda !

À 10h15, ça suffit les conneries, je pars prendre le Shuttle pour le Terminal 2, porte 86… Bah là, en traversant l'aéroport dans la petite rame de train, j'ai encore pleuré. Adieu Japon… Faut dire aussi que mon MP3 ne m'a aidé ! Le sort a voulu que j'ai THE morceau de "One Litre of Tears" super triste qui passe à ce moment-là !
J'me pointe donc à 10h30 devant la porte 86, seule et en pleine déprime… C'est pas juste ! Vraiment pas juste ! C'est passé trop vite ! J'prends le numérique et je le bascule en mode diaporama. Et c'est parti pour 3Go de photos et vidéos ! J'me suis repassée plusieurs fois celle du mec mignon (de profil ! lol !) de la gare de Fushimi Inari qui menaçait à tout moment de s'endormir sur mon épaule ! mdr ! Ça aussi, ça va me manquer ! Et puis, j'ai fini par embarquer… Première arrivée, dernière à monter dans l'avion… À côté de moi, une greluche russe, avec des ongles jap' (allez voir la photo des ongles assortis au portable pour bien visualiser !), pressée de rentrer chez elle (l'extraterrestre !). J'la fais s'pousser parce qu'il faut pas abuser, j'ai pas demandé le hublot pour rien ! Et me v'là scotchée à la vitre, profitant de mes dernières minutes sous le soleil japonais. L'avion s'est lancé à la recherche de sa piste de décollage et ça lui a bien pris une demi – trois-quarts d'heure ! À 12h30, on est passé devant le massif d'arbustes taillés en "NARITA" avec une pendule à côté. Là, j'ai encore plus pleuré (oui parce que, depuis que j'étais au hublot, mes larmes coulaient silencieusement… là, j'ai carrément pleuré !) et dix petites minutes plus tard, je quittais le sol japonais…

La Russe a dû se dire que je devais avoir super peur de l'avion ou un truc comme ça parce qu'elle a appelé une hôtesse de l'air (euh, pardon, c'était un mec, donc stewart… russe forcément, ça va donc sans dire qu'il était moche et gros) qui m'a demandé si j'allais bien. J'ai répondu en sortant un "Genki desu." (ça va en jap'), décollant à peine de mon hublot : on voyait encore le Japon sous l'aile de l'avion ! On a dépassé une couche de nuages me privant du seul truc qui parvenait encore à me faire sourire (Quoi ? Z'avez jamais souri en pleurant vous ?). Le Japon, là, c'est vraiment fini, terminé, owari desu… Gros soupir, je relève les yeux et là… choc ! Le mythe était donc vrai ? Il existe ? Au loin, au-dessus des nuages, le Fuji-san perçait le ciel (j'pense que c'était lui, on venait plus ou moins de décoller). Photo obligatoire même si c'est encore interdit (l'avion était toujours en train de monter). Dernier point de vue, symbole du Japon que j'ai suivi aussi longtemps que possible des yeux… même après qu'on m'ait distribué plein de trucs dont j'avais rien à foutre : écouteurs pourris, masque pour dormir, boules Quiès… Petite annonce : le "repas" va être servi. Rien qu'à y penser, j'ai plus faim.
"Noddles or pasta ?"
Va pour pasta, les noddles du Japonais de l'autre côté de l'allée ne m'inspirent pas (important à retenir, ce petit Japonais !). Et là, miracle ! Dans sa clémence infinie (non pas la mienne, elle, elle est encore à Tôkyô la veinarde !), le Dieu du Japon, soucieux de m'offrir un dernier cadeau pour me remonter le moral, nous a donné… DES MAKI !!! Au lieu de la traditionnelle petite entrée merdique, des maki avec un petit sushi saumon ET sauce soja ! Je me jette dessus, consciente que se seront mes derniers au Japon (ok, j'suis p't'être plus sur le sol japonais mais à la verticale, j'y suis encore !). Et là, autre miracle (le Dieu du Japon sait être généreux) : ils sont BONS !
Deux secondes de réflexion : le repas a dû être fourni par le Japon, pas par la Russie, donc ça va être bon !!! Et effectivement, j'ai tout mangé, pain compris avec du beurre ! La greluche russe, elle, n'a mangé que ses pâtes… Quel gâchis ! J'lui aurais bien becté, moi, ses maki ! N'ayant plus rien à manger, à voir, pas de stylo pour écrire, j'ai saisi mon MP3 et fini le diaporama de nos photos… Je lève vite fait les yeux sur les mauvaises télés de l'avion : Troie ! Ils nous passent un film américain !!! Écouteurs vite mis, vite enlevés ! Brad Pitt en russe, sans sous-titres, non merci. Ça tue le mythe ! Alors, j'ai suivi le film sans… Ah ! La mort de Patrocle… Ils ont enchaîné avec le Da Vinci Code. Bon là, y a 3-4 mots en français, j'vais remettre les écouteurs. En les mettant, j'ai accidentellement changé le "chanel" de 1 sur 2 et ô miracle : la VO !!! J'ai pu suivre tout le film nickel ! Après, j'ai essayé en vain de dormir… et on a atterri à Moscou à 17h30. Et c'est reparti pour déambuler dans la zone (moche) de transfert, faire plus d'une demi-heure de queue pour qu'on mâte mon passeport et qu'on me délivre enfin ma carte d'embarquement. Seul point positif, derrière moi, un groupe de Coréens à l'accent si agréable au milieu des sonorités agressives des Russes. Oh ! Et puis j'ai revu le mignon Japonais qu'on avait croisé à l'aller ! Ça m'a fait chaud au cœur de le voir !

J'ai enfin pu sortir pour aller dans la Duty Free Zone… Bah, j'avais oublié à quel point elle était kitch ! J'ai pris une photo du plafond parce que moche comme ça, ça s'invente pas ! Et aussi une enseigne d'un magasin de poupées gigognes… Outch ! Là, j'me suis vraiment demandé s'il était possible qu'un Français aime la Russie comme moi le Japon. J'ai été visiter les toilettes : choquantes après le Japon ! Dégueu, sans papier, l'eau des robinets coulant sans cesse (j'ai essayé de les fermer mais ça tourne dans le vide…)… Non, décidément, mon contact avec la civilisation russe n'est pas positif ! J'me suis même demandée si j'préférais pas l'Espagne (c'est pour dire !). Finalement, je les mets sur un pied d'égalité !
J'ai patienté sur des marches sales et froides que la porte 7 ouvre enfin… 20h50 pour un embarquement à 21h15… Youpi ! Direction un siège qui a eu le mérite d'être plus confortable ! Autant j'voulais pas décoller de Narita, autant, là, j'aurais aidé à pousser l'avion pour qu'on parte plus vite ! Embarquement tardif (c'est la Russie), nous voilà à refaire la queue pour décoller… Vive Moscou ! C'est pas à Narita que ça s'rait arrivé, non ! Ça m'aurait fait rester plus longtemps en territoire asiatique !
L'avion a rapetissé, je suis dans le même coucou qu'à l'aller… La fatigue en plus, j'me suis endormie aussitôt assise, mon voisin de l'autre côté de l'allée, pareil ! J'ai réalisé que c'était aussi mon voisin d'allée dans l'avion de Narita ! On s'est fait réveillé par une hôtesse qui nous a servi notre "repas"… C'est rigolo, on s'est regardé avec le Japonais d'un air entendu sur la qualité de cette "nourriture" : "Fish or Beef ?" J'ai déjà vécu ça… ça a vraiment un goût de déjà vu… Beef, définitivement beef ! Ou pas… Élastique, dure… bref, dégueu ! Là, bizarrement, j'ai quasiment rien mangé. Une Russe à côté de moi avait pourtant l'air de se régaler… J'ai sorti une barre de maki et j'en ai proposé à mon voisin japonais. Politesse japonais oblige, il a poliment refusé et s'est endormi pour ne pas m'embarrasser à manger ça devant lui. Ou bien c'était pour ne pas saliver devant moi, lol ! J'me suis ensuite endormie pour me réveiller juste avant l'atterrissage pour attacher ma ceinture et relever mon siège. Puis, je me suis ré-endormie et réveillée au moment où les roues de l'avion touchaient le sol français. Ça y est. Là, c'est vraiment fini. Les vacances sont terminées… Maintenant, faut que j'fais gaffe, les gens peuvent me comprendre…

Premier choc : la température ! Ouh c'que j'regrette les 35° de Kyôto ! Là, si y a 5°, ça m'étonnerait pas… Bon après il est tout juste minuit. C'est "normal". J'ai été attendre ma vache près du tapis roulant et dix minutes plus tard, toujours rien… Aucune valise n'apparaissait… Inquiétant ! Oubliant qu'en France, les gens parlent français, j'ai sorti un "Bah, s'ils ont oublié nos valises à Moscou, faut l'dire ! On va r'tourner les chercher !" qu'a paniqué une petite vieille à côté de moi : "Dites pas ça ! Vous êtes folle ! Vous allez nous porter la poisse !". Et superstitieuse avec ça… piouf ! J'ai finalement récupéré ma vache de 12,5kg (bizarre, j'aurais dit plus, vu l'état de mon épaule) et j'ai fait un arrêt pipi… Moins pire que la Russie mais quand même loin derrière le Japon ! Deux WC sur quatre étaient hors service (Bienvenue en France !) et le troisième ne fermait pas… Youpi ! Direction ensuite les cabines téléphoniques qui marchent avec la carte bleue ! J'avais oublié ! V'là un bon point pour la France ! J'appelle la maison et je tombe sur Maman. Ça fait du bien de l'entendre ! Mais très vite, j'ai pleuré… Bah oui, fallait pas demander si j'étais bien rentrée en France… Ça m'a rappelé qu'il y a quelques heures, j'étais à Tôkyô et que c'était super ! Réalisant qu'à 00h30, y a plus de métro, j'ai décidé de passer la nuit à la gare de Charles-de-Gaulle et de changer mon billet pour revenir à Bordeaux directement d'ici. À 1h du mat', je rappelle Maman pour lui dire que c'est faisable et me voilà bonne pour poireauter… encore… jusqu'à 7h39, heure de mon TGV. Impossible de dormir, je me refais un checkup de mes souvenirs. Après avoir joué au moins 10 fois avec ma boîte d'Hakone (27 coups quand même), défait, refait la plupart des paquets, avoir fini mes barres de maki, achevé les piles du numérique (les horaires d'ouvertures du McDo de Shinjuku, en face du KFC, près de la gare, m'a fait éclater de rire ! Je l'avais oubliée celle-là !), fait 3 fois le tour des musiques de mon MP3, je me suis lancée dans une recherche restreinte de toilettes (j'ai ma vache à traîner !) pour la pause pipi e remplir ma bouteille d'eau. D'après le plan, y en a tout près de là où j'suis… sauf qu'on est en France et en France, les toilettes ne sont ouvertes qu'à partir de 6h15… Youpi ! Juste 15 minutes avant l'ouvertures des guichets SNCF où j'vais changer mon billet ! Et il est… 3h du mat' ! Clémence doit être à Narita ou en route en ce moment… Je décide de revenir dans l'aéroport pour en trouver… Aucun plan ! Super, bon, béh, j'vais attendre, c'est pas grave ! J'ai donc été me refaire un checkup des souvenirs quand j'ai réalisé que je me suis trompée de baguettes pour Maman ! C'est marqué Obâsan et pas Okâsan… et m****e !!! Avec un peu de chance, Clémence a 2 "Okâsan"… Sinon, bah tant pis ! C'est une grand-mère aussi ! Sur les coups de 5h de mat', des Israëliennes me sortent de ma torpeur pour me demander comment on va à la Défense. Qu'est-ce que j'en sais moi ? Bonne poire et n'ayant rien d'autre à faire, j'vais voir la machine : écran d'accueil > tickets pour la Défense > 10€ par personne… Bah ouais, c'est cher ! Tu peux prendre un taxi aussi ! Non, j'habite pas là, j'peux pas vous y amener ! Mon sac est pas assez gros, vous l'voyez pas ? Et j'ai pas 10€ (20 aller-retour) à craquer pour vos beaux yeux !

À 6h, des vieux, anglais, avaient l'air complètement paniqué… Ils ne comprennent pas comment leurs billets marchent. Le Japon, ça déteint ! J'ai été les voir : "May I help you ?"… Et v'là que j't'explique que c'est pas grave si la destination du billet ne correspond pas avec celle du tableau… ce qui importe, c'est le numéro du train. La voie ? 20 minutes avant le départ ! C'est marqué partout, y compris en anglais… Ah, ces touristes !
À 6h12, je me rue dans les chiottes (fallait pas ouvrir avant l'heure !), 50 centimes… J'avais oublié ça aussi… En France, pour pisser, tu paies ! Et l'eau des robinets est chaude… Youpi ! À 6h30, j'vais changer mon billet à la SNCF et j'ai le droit à un petit interrogatoire : "Et pourquoi vous voulez l'changer ?" "Euh, parce que je suis là depuis minuit et que j'vais pas attendre encore 24 heures pour rentrer chez moi." "Vous pouviez pas l'faire avant ?" "Euh, non ! J'étais à 10 000km d'ici… au Japon !" "J'suppose que vous voulez celui de 39…" "Oui, à moins qu'il y en ait un avant." "Non… J'vous mets celui de 39 alors ?" Mais elle le fait exprès ou elle est con ? "Oui !!!"

Courage, encore une heure avant de m'affaler dans un siège et dormir ! J'ai aps vu la couleur du ciel entre Paris et Bordeaux ! À peine arrivée que je saute dans un bus 9, direction chez moi… Les gens m'agressent, la fatigue n'aide pas… Faut dire que les voir se chamailler pour une place alors que le bus est vide n'est pas des plus agréables… Ah, les vieux en France, c'est qu'ils y tiennent à leurs places réservées !
Je rentre dans mon appart'… Steté n'est pas encore là pour m'accueillir… Il est désespérément vide… Je passe devant ma carte du Japon et à la vue de Tôkyô et Kyôto, je fonds en larmes… C'était si bien, j'y étais si bien là-bas, c'était excitant, agréable, différent… le Japon quoi ! Alors, j'ai essayé de me calmer avant d'aller téléphoner à Maman en me disant qu'au moins j'y étais allée, je l'ai vu de mes yeux, que c'était pas donné à tout le monde ! J'connais plein de gens qui en rêvent d'y aller et qu'ils n'y ont pas encore été ! Et puis, j'vais y retourner ! Et y a la Corée du Sud aussi… Se fixer de nouveau objectifs, y a que ça !
C'est exactement ce que m'a dit Maman au téléphone quand j'ai repleuré… Ça a dû faire bizarre à Marc de m'entendre pleurer tout en disant que c'était génial, que j'voudrais encore y être… J'ai quitté la cabine téléphonique pour mon appart', séchant mes dernières larmes (du moment), décidée d'essayer de dormir. Mais, j'ai défait ma valise (le coup de blues… j'ai encore pleuré), fait un brin de ménage et ce n'est que sur les coups de juste avant le film que je me suis endormie devant la télé (moi qui voulais voir Bones…) et j'me suis réveillée à 4h30 devant du rap américain… J'ai connu des réveils plus doux !

Voilà, c'était ma dernière journée, la fin de mon périple au Pays du Soleil Levant…
Ja ne !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

roh c passé super vite!! Même en lisant les posts je me dis déjà??

bon allez la prochaine fois je viens chercher les vidéo et les photos
bisous

Anonyme a dit…

Bon, alors je me suis cassée à écrire un mot qui n'est pas passé. Juste pour faire un au revoir à Maylis qui a fini son boulot, et lui dire que nous avons vibré aux dernières heures de son voyage. Et lui dire qu'elle arrête de draguer les stewarts russes. Maintenant, on va stresser en attendant Clémence.